Effective coping with stress is essential to life satisfaction and quality of life. Yet, coping is not taught so we are left on our own to learn what works and what doesn’t work when we encounter stressful situations. At the same time, the study of coping has presented a formidable challenge to psychology. In general, coping has been regarded as reactive, a strategy to be used once a stressor has been experienced. Often when encountering stressors, the coping strategies people use are focused on regulating their emotional reactions to a stressor rather than focusing on the stressor itself. This may be because many stressors people encounter are diffuse and uncontrollable. An alternative way of conceptualizing coping has been put forward, namely proactive coping, that is something one can do before stress occurs. Proactive coping incorporates planning and building resistance factors to ward off future crises. It involves goal setting, having efficacious beliefs, and it is associated with resources, including social support, for self improvement. Since it is associated with self-efficacy and vigor, demands are perceived as a challenge rather than a threat. Proactive coping predicts positive outcomes important to the promotion of health and well-being. It incorporates a confirmatory and positive approach to dealing with stressors and is often associated with life satisfaction and well-being. In this talk, research will be presented that illustrates the relationship between proactive coping, positive affect and outcomes. Theoretically, through a social cognitive perspective, the study of coping is broadened to include self-efficacy principles, planning, and utilization of social support in the prediction of outcomes.
Esther Greenglass est professeure de psychologie à l’Université York, au Canada. Elle a publié de nombreux articles dans les domaines de la psychologie positive, de la psychologie de la santé, des femmes, des rôles de genre, du conflit travail-famille, de l’adaptation, de l’épuisement professionnel et du stress. Ses recherches récentes se sont concentrées sur l’étude psychologique des effets de la Grande Récession (2007-2008), les conséquences psychologiques de la COVID-19, ainsi que les facteurs psychologiques associés à l’observation de la guerre entre la Russie et l’Ukraine. Elle détient le titre de Fellow de la Société canadienne de psychologie (SCP), de l’American Psychological Association (APA) et de l’Association internationale de psychologie appliquée (AIPA). Elle a été présidente de la division de la psychologie de la santé de l’Association internationale de psychologie appliquée (AIPA) et elle représente le Canada à la STAR (Stress, Trauma, Anxiety, and Resilience Society). Parmi ses quelque 200 ouvrages savants figurent des livres, des articles encyclopédiques et des chapitres de livres, ainsi que des articles parus dans des revues scientifiques avec comité de lecture. Elle est abondamment citée pour ses travaux sur le stress et l’adaptation. Elle a donné des conférences et des présentations sur invitation dans plus de 19 pays. Elle a contribué à l’élaboration du Proactive Coping Inventory (PCI), qui a été traduit en plus de 21 langues et qui est utilisé dans le monde entier pour évaluer la capacité d’adaptation à la fois en laboratoire et dans des situations stressantes de la vie réelle.
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